Les archives de la Cepple à Montpellier

Pour ses 75 ans cette année 2025, toutes les archives sont enfin réunies à la bibliothèque de l'IPT de Montpellier. Réunies à un endroit, il est possible de se plonger enfin dans son histoire riche.

Dossiers d'archives du COE à Genève

 

 

Les origines de la Cepple remontent à l’initiative du pasteur Marc Boegner lorsqu’il était en 1950, un des présidents du Conseil Œcuménique des Églises : il suggère alors de créer une conférence de soutien pour des Églises en situation de minorité dans des pays latins. C’est la commission « Inter-church aid and refugies » (en français : Département d’Entraide et des réfugies) qui a porté l’organisation et le travail de réflexion. Les premiers documents (de la Conférence de Torre-Pellice en 1950, du Chambon-sur-Lignon en 1958 et de Leysin en 1963) se trouvent au COE à Genève. Nous remercions les archivistes qui nous ont donné accès aux documents que nous pouvons ainsi numériser.

De Genève à Montpellier

Cartons dans les archives à Montpellier

Une grande partie des archives se trouvent à Genève à l’Église protestante (EPG) ; les premiers documents remontent à l’an 1962 – les comptes rendus du bureau et du « Comité de continuation » [qui s’est appelé un temps « Équipe de continuation », puis depuis la dernière assemblée à Riesi / Italie simplement « Comité »], les lettres de diverses correspondances et les comptes rendus des assemblées suivantes.

Nous avons décidé de les déposer à la bibliothèque de Montpellier et de les réunir avec ceux qui s’y trouvaient déjà, à savoir quelques traces des premières années mais essentiellement des documents datant des années 1990 et suivantes.

Toutes les archives en papier de la Cepple, au temps où elle était une conférence indépendante du COE, se trouvent maintenant réunies à la bibliothèque de Montpellier.

Du papier vers des fichiers numériques

Avec les débuts de l’internet et de la numérisation, la Cepple a naturellement commencé à utiliser de plus en plus les archives numériques et à les stocker sur l’intranet de notre site internet. Il est évident que nous gardons un enregistrement de sécurité sur des disques durs externes chez le président et le secrétaire général.